Les chaudières actuellement en service sont conçues pour utiliser du fioul domestique dit « traditionnel ». Les spécifications techniques de ce fioul traditionnel prévoient un taux d’incorporation maximum de 7% d’ester méthylique d’acide gras (emag). Un travail de normalisation est en cours pour étendre l’incorporation à 10% (F10).
D’après les résultats des tests réalisés dans la région Rhône-Alpes, les chaudières installées devraient pouvoir accepter du biofioul F10. Ce F10 contiendra jusqu’à 10% d’ester méthylique de colza. Mais pour le moment, il n’est pas commercialisé.